32 pages pour (re)présenter le métier, le positionner, lui donner une identité, montrer ses valeurs et les exigences inhérentes, orienter la formation initiale, identifier les évolutions souhaitables et probables, expliciter les règles de l’art…Sont développés 1° les objectifs du référentiel 2° ses caractéristiques, qui tiennent en cette phrase « A quoi reconnaîtra-t-on qu’un masseur-kinésithérapeute est compétent et que l’on peut donc lui faire confiance ? » 3° le concept de métier 4° la structure du référentiel qui distingue : "les savoirs agir en situation & les ressources en savoirs et savoirs faire" 5° les tendances d’évolution du métier et des compétences requises associées.
6° les principaux types de situations dans lesquelles le MK est appelé à agir avec "pertinence et compétence", déclinés en 4 situations types de soins & 5 situations complémentaires (dont enseigner la kinésithérapie) 7° les ressources en connaissances et savoir-faire à mobiliser dans les situations professionnelles, avec des des connaissances classées en 3 niveaux (notions de bases, maîtrise théorique, connaissance disciplinaire approfondie). Quant aux savoirs -faire , ils sont classés en A : cliniques (techniques et méthodologiques, relationnels et pédagogiques, techniques et méthodologie en recherche), B : pédagogiques, C : techniques et méthodologiques en communication professionnelle, D : techniques et méthodologiques en gestion, E : linguistiques
Ce référentiel a été élaboré par 11 auteurs sous la direction de Le Boderf, reconnu pour ses travaux sur la compétence
NB : à noter l’absence du mot "ostéopathie" dans ce référentiel.
Il reste à mesurer (et à combler ?) l’écart entre la réalité et ce référentiel qui touche tous les pans de la profession. Nul doute que les commentaires vont aller bon train, comme toujours dès qu’il s’agit des travaux pour lesquels nous avons participé financièrement…
Ce référentiel a été élaboré par 11 auteurs sous la direction de Le Boderf, reconnu pour ses travaux sur la compétence
NB : à noter l’absence du mot "ostéopathie" dans ce référentiel.
Il reste à mesurer (et à combler ?) l’écart entre la réalité et ce référentiel qui touche tous les pans de la profession. Nul doute que les commentaires vont aller bon train, comme toujours dès qu’il s’agit des travaux pour lesquels nous avons participé financièrement…