La douleur est donc chiffrée.
C’est le seul moyen d’approcher une objectivation certes imparfaite mais qui évite de s’étalonner sur l’opinion du thérapeute.
Évaluer la douleur est indispensable.
La saisir à travers une évaluation objective (et comparable) est impossible.
Le langage pour finir ne peut pas nous servir à évaluer la douleur (la douleur n’est pas descriptible) mais il sera le lien entre la personne qui a mal et le thérapeute. Il suffira d’utiliser le vocabulaire de la personne et de s’intéresser à ses repères, à son cadre de référence.
C’est le seul moyen d’approcher une objectivation certes imparfaite mais qui évite de s’étalonner sur l’opinion du thérapeute.
Évaluer la douleur est indispensable.
La saisir à travers une évaluation objective (et comparable) est impossible.
Le langage pour finir ne peut pas nous servir à évaluer la douleur (la douleur n’est pas descriptible) mais il sera le lien entre la personne qui a mal et le thérapeute. Il suffira d’utiliser le vocabulaire de la personne et de s’intéresser à ses repères, à son cadre de référence.