Un changement survient alors.
Le kiné en charge de Mme Ban s’absente pour 15 jours et il est replacé par un kiné qui n’est pas impliqué dans le service et qui a eu vent de l’indécision concernant la patiente.
Il constate la situation et prends le problème simplement : bilan, objectifs, exercices.
Le déconditionnement est flagrant, les incapacités semblent réversibles. Le travail commence. Marche soutenue, vitesse, déplacements, giration des ceintures, escaliers, équilibre, etc.
Tous les soignants devant les progrès rapides mettent la main à la pâte et au bout de 15 jours Mme Ban se plaint de douleurs aux épaules mais marche seule, plus vite et en sécurité.
Le kiné en charge de Mme Ban s’absente pour 15 jours et il est replacé par un kiné qui n’est pas impliqué dans le service et qui a eu vent de l’indécision concernant la patiente.
Il constate la situation et prends le problème simplement : bilan, objectifs, exercices.
Le déconditionnement est flagrant, les incapacités semblent réversibles. Le travail commence. Marche soutenue, vitesse, déplacements, giration des ceintures, escaliers, équilibre, etc.
Tous les soignants devant les progrès rapides mettent la main à la pâte et au bout de 15 jours Mme Ban se plaint de douleurs aux épaules mais marche seule, plus vite et en sécurité.
Les aptitudes physiques de Mme Ban s’améliorent et sa demande de rentrer chez elle est insistante. Les soignants s’inquietent de la voir déprimer et craignent une régression fatale.
L’argument de la chute possible et surtout de l’insalubrité du logement sont à nouveau mis en avant par le médecin: "Mme Ban vit dans des conditions déplorables".
Pas si sûr…