L’accent est mis sur plusieurs points:
-sur le processus de triage pour exclure une pathologie plus grave relevant de l’intervention du médecin.
-sur le rôle de l’imagerie qui n’est pas recommandée pour une lombalgie non-spécifique et sur son effet potentiellement délétère.
-sur l’évaluation de facteurs de risques psycho-sociaux avec le STarT Back Screening Tool pour identifier le risque de chronicité (faible, moyen ou élevé)
-sur la communication à avoir ou ne pas avoir pour influencer correctement les croyances du patient.
-sur la prise en charge: éducation sur la nature biopsychosociale de la lombalgie, thérapie cognitive et comportementale, conseils, thérapie manuelle et exercices…