Le croyant renvoie toujours l’athée au fait qu’il ne peut pas prouver que Dieu n’existe pas, il refuse tout argument et demande des preuves supplémentaires, des « sur preuves ».
Prouver que Dieu n’existe pas revient à chercher et accumuler les preuves, « sur prouver ».
Le croyant sait, l’athée cherche.
Pour la science et la pseudo science nous retrouvons le même schéma.
La science doit constamment donner plus de preuves que raisonnable quand il lui faut étudier une pseudo science. D’autant plus que la science est le domaine de l’incertitude, on y rencontre peu de vérités mais des propositions d’explications qui bien entendu ne valent rien face aux principes charlatanesque gravés dans le marbre.
On arrive au paradoxe suivant : la pseudo science se contente de dire, la science doit présenter des preuves.
Demain on se détend un peu grâce à l’homéopathie qui nous fera avancer avec prudence sur les chemins de la pseudo science.
Prouver que Dieu n’existe pas revient à chercher et accumuler les preuves, « sur prouver ».
Le croyant sait, l’athée cherche.
Pour la science et la pseudo science nous retrouvons le même schéma.
La science doit constamment donner plus de preuves que raisonnable quand il lui faut étudier une pseudo science. D’autant plus que la science est le domaine de l’incertitude, on y rencontre peu de vérités mais des propositions d’explications qui bien entendu ne valent rien face aux principes charlatanesque gravés dans le marbre.
On arrive au paradoxe suivant : la pseudo science se contente de dire, la science doit présenter des preuves.
Demain on se détend un peu grâce à l’homéopathie qui nous fera avancer avec prudence sur les chemins de la pseudo science.