Après un rappel sur l’atteinte des muscles périphériques et respiratoires des personnes atteintes de BPCO, les auteurs réalisent une synthèse de l’état des connaissances concernant l’étiologie et les différents mécanismes responsables de cette dysfonction : sévérité de la maladie, l’inactivité physique et autres mécanismes biochimiques.
Les stratégies de traitements non pharmacologiques sont centrées sur les muscles périphériques (Mick Polkey oblige) où vous y trouverez une intéressante mise au point.
Sur le terrain, ces dernières avancées devraient influencer les programmes de réentraînement à l’effort afin de les optimiser.
Dans les labos, la conception des essais cliniques pourrait s’intéresser au phénotypage des patients en fonction de la dysfonction musculaire et permettre d’améliorer l’identification des personnes les plus susceptibles de répondre à des traitements spécifiques.
Voir l’article en accès libre