Les IRMs étaient réalisés par un radiologue, "en aveugle" des données de l’examen clinique qui comportait la palpation du grand trochanter et plusieurs tests de provocation.
La puissance de l’étude n’étant peut être pas assez importante, les résultats sont à prendre avec des pincettes.
Mais il apparait que de la douleur provoquée lors d’un test unipodal de 30 secondes aurait une forte probabilité de confirmer la présence d’un tendinopathie du moyen fessier, alors que l’absence de douleur à la palpation du grand trochanter permettrait d’exclure ce diagnostic.
20 patients avaient une tendinopathie visible à l’IRM mais sans manifestation clinique lors des tests.
Note réalisée à partir du résumé
Si vous voulez aller plus loin tout en travaillant votre anglais, il y a ce podcast du BJSM sur la tendinopathie du moyen fessier