Pour des personnes à mobilité réduite, la qualité de vie est très liée à la rapidité de réalisation d’activités motrices essentielles tel que le passage assis-debout.
Quels sont les besoins en force musculaire pour réaliser confortablement cette activité?
L’étude biomécanique de Yoshioka et coll. donne des réponses en proposant un protocole avec 11 sujets jeunes et exempts de pathologie.
La cinématique du passage assis-debout est mesurée dans le plan sagittal par système optique d’analyse du mouvement.
Les données cinétiques (moments) sont calculées par méthode dynamique inverse.
Les mesures sont réalisées à vitesse spontanée puis complétées par des simulations mathématiques de mouvements très lents (jusqu’à 7 sec. par paliers de 0,1 sec).
L’analyse est menée sur la somme des moments hanche et genou. Cet index permettant d’annuler les différences entre les stratégies motrices individuelles.
Les résultats:
– Temps moyen pour 1 lever = 1,32 sec
– Les levers rapides (moins de 2,5 sec.) nécessitent des moments musculaires croissants.
– Les mouvements lents (plus de 2,5 sec.) se contentent de moments musculaires constants.
– La valeur minimale de ces moments correspondant à la composante statique des moments.
En pratique donc:
– Se lever une fois, c’est être assuré de pouvoir le faire à vitesse confortable (2,5 sec)
– Si l’observation dément ce principe, le sujet est gêné par d’autre facteur que la force musculaire (équilibre).
Quels sont les besoins en force musculaire pour réaliser confortablement cette activité?
L’étude biomécanique de Yoshioka et coll. donne des réponses en proposant un protocole avec 11 sujets jeunes et exempts de pathologie.
La cinématique du passage assis-debout est mesurée dans le plan sagittal par système optique d’analyse du mouvement.
Les données cinétiques (moments) sont calculées par méthode dynamique inverse.
Les mesures sont réalisées à vitesse spontanée puis complétées par des simulations mathématiques de mouvements très lents (jusqu’à 7 sec. par paliers de 0,1 sec).
L’analyse est menée sur la somme des moments hanche et genou. Cet index permettant d’annuler les différences entre les stratégies motrices individuelles.
Les résultats:
– Temps moyen pour 1 lever = 1,32 sec
– Les levers rapides (moins de 2,5 sec.) nécessitent des moments musculaires croissants.
– Les mouvements lents (plus de 2,5 sec.) se contentent de moments musculaires constants.
– La valeur minimale de ces moments correspondant à la composante statique des moments.
En pratique donc:
– Se lever une fois, c’est être assuré de pouvoir le faire à vitesse confortable (2,5 sec)
– Si l’observation dément ce principe, le sujet est gêné par d’autre facteur que la force musculaire (équilibre).
FJ