Spiromètrie: un débat hors programme au congrès 2011 de l’ERS
La session portait sur la télémédecine et la spiromètrie était seulement citée en exemple.
Au moment des questions du public les échanges se sont cristallisés autour de la spiromètrie et en particulier de son apprentissage.
Côté tribune l’argumentaire était axé sur la formation à distance et sur le principe d’apprentissage au long court, autrement dit « sur le tas ».
Côté public l’argumentaire défendait l’idée d’une véritable formation conduite sur deux ans et définie pour des professionnels de la pneumologie. L’enseignement de la physiologie respiratoire y occupait une large place.
A ce titre les physiothérapeutes seraient très bien placés pour s’acquitter de ces taches. Nous avons pu prolonger la discussion en off et confirmer cette idée : les physios sont « attendus » pour occuper ces places.
Ne pas crier victoire. Comment sommes nous organisés en France ? Quelle place occupe l’enseignement respiratoire dans les IFMK ? La formation continue existe-t-elle sur ce sujet ? Si oui est-t-elle uniformisée ?
Ne pas crier victoire. La responsabilité de la réalisation de cet examen est plus lourde qu’il ne semble.