Revenons sur une notion que nous avons survolé: la maîtrise de la douleur.
La douleur peut être définie comme une perte de maîtrise de l’individu face à l’événement. Une partie de sa vie lui échappe et ce phénomène est conscient. Cette dépossession est forcement pénible. Perte du contrôle de la perception, des possibilités d’action et des émotions.
Prenons deux exemples.
Dans la fibromyalgie, syndrome algique caracterisé par l’incertitude (des causes, des traitements, du contexte mental, etc) qui génère une perte de maîtrise collatérale. La personne ne contrôle pas ses douleurs qui de surcroît sont multiples; le thérapeute ne connaît pas l’origine des douleurs pas plus que les mécanismes sous-jacents.
Le masochiste utilise la douleur pour satisfaire un fantasme mais dès lors qu’elle est subie (maladie, accident) la douleur devient insupportable.
Conclusion: dans notre exercice il parait plus logique de travailler davantage sur le contrôle de la douleur pour favoriser les capacités que viser le zéro douleur.
La douleur peut être définie comme une perte de maîtrise de l’individu face à l’événement. Une partie de sa vie lui échappe et ce phénomène est conscient. Cette dépossession est forcement pénible. Perte du contrôle de la perception, des possibilités d’action et des émotions.
Prenons deux exemples.
Dans la fibromyalgie, syndrome algique caracterisé par l’incertitude (des causes, des traitements, du contexte mental, etc) qui génère une perte de maîtrise collatérale. La personne ne contrôle pas ses douleurs qui de surcroît sont multiples; le thérapeute ne connaît pas l’origine des douleurs pas plus que les mécanismes sous-jacents.
Le masochiste utilise la douleur pour satisfaire un fantasme mais dès lors qu’elle est subie (maladie, accident) la douleur devient insupportable.
Conclusion: dans notre exercice il parait plus logique de travailler davantage sur le contrôle de la douleur pour favoriser les capacités que viser le zéro douleur.