Courrier International (976) publie un article de New Scientist traitant de l’effet nocebo.
Ce phénomène assez répandu, consiste à ce qu’un grand nombre de patients subissent des effets secondaires uniquement parce qu’on les a avertis qu’ils risquaient d’en subir.
La plus impressionnante illustration est celle d’un homme qui, dans les années 1970, apprend qu’il souffre d’un cancer du foie en phase terminale. L’homme meurt rapidement avec tous les symptômes et pourtant les résultats de l’autopsie révèlent que la tumeur était en réalité petite et sans métastase.
L’effet nocebo s’observe couramment dans la pratique médicale. Près de 60% des patients suivant une chimiothérapie commencent à se sentir mal avant même de commencer le traitement, de même que les effets secondaires décrits dans les notices des médicaments sont très souvent observés après lecture de ceux-ci…
La cause première de l’effet nocebo ne relèverait pas du domaine de la neurochimie mais bien de la croyance , la revue observe toutefois que « les preuves ont beau s’accumuler, il est difficile d’accepter, à l’ère de la raison, que des croyances puissent tuer ».
Ce phénomène assez répandu, consiste à ce qu’un grand nombre de patients subissent des effets secondaires uniquement parce qu’on les a avertis qu’ils risquaient d’en subir.
La plus impressionnante illustration est celle d’un homme qui, dans les années 1970, apprend qu’il souffre d’un cancer du foie en phase terminale. L’homme meurt rapidement avec tous les symptômes et pourtant les résultats de l’autopsie révèlent que la tumeur était en réalité petite et sans métastase.
L’effet nocebo s’observe couramment dans la pratique médicale. Près de 60% des patients suivant une chimiothérapie commencent à se sentir mal avant même de commencer le traitement, de même que les effets secondaires décrits dans les notices des médicaments sont très souvent observés après lecture de ceux-ci…
La cause première de l’effet nocebo ne relèverait pas du domaine de la neurochimie mais bien de la croyance , la revue observe toutefois que « les preuves ont beau s’accumuler, il est difficile d’accepter, à l’ère de la raison, que des croyances puissent tuer ».