2) L’intégration des formations paramédicales au sein de l’Université
– La mise en place d’un grand secteur santé rassemblant des UFR de santé avec des formations longues et des UFR de santé avec des formations courtes ;
– L’intégration de l’ensemble des formations paramédicales au sein de l’Université ;
– Une différenciation au niveau de la formation entre les professions nécessitant au moins 5 ans de formation (formation longue) où la sélection doit se faire progressivement, par exemple après la 2ème année, et les professions nécessitant 3 ans de formation (formation courte) où l’accès doit être direct pour chaque profession. Les étudiants non reçus pour intégrer une formation longue pourront rejoindre une formation courte en 2ème année ;
– La mise en place de cours en commun entre formations courtes et formations longues tels que la santé publique, l’épidémiologie, l’anatomie, la physiologie, le questionnement éthique, la sensibilisation à la coordination des soins par exemple ;
– L’identification d’un parcours recherche pour les formations paramédicales.
A l’issue de la journée de débats, le gouvernement rendra publique une feuille de route pour les années à venir.
Le débat est ouvert. Pourtant, les acteurs professionnels en dehors du CNOMK et de la FNEK par leur présidente respective, restent silencieux.
Si vous avez lu les commentaires du post sur l’ostéopathie cranienne, un apport sur sur la démarche scientifique, l’esprit critique, les références bibliographiques, la construction d’une thèse, la valeur de l’expérimentation, la méthodologie de l’expérimentation, toutes ces approches et méthodes pratiquées par l’université, relève de l’urgence sanitaire.
http://www.cpu.fr/actualite/grande-conference-sante-la-cpu-formule-des-propositions/