Cette question fait suite au congrès de l’IFOMPT de 2016, à Glasgow, qui a fait la part belle aux neurosciences de la douleur et qui a vu des cessions mettre en balance ces neurosciences et la thérapie manuelle.
Cet éditorial se fait l’avocat de la thérapie manuelle en pointant les éléments défaillant et à améliorer (plus de recherche de fondamentales par exemple) et cite quelques références montrant l’intérêt clinique de la TMO. On peut noter la publication de BialoskI sur les mécanismes d’action de la thérapie manuelle, le même Bialoski qui a fait une intervention remarquée à Glasgow (peut être considérée comme une meilleure du congrès).
Enfin, les auteurs mettent en perspectives tout cela et propose une vision de la TMO qui doit servir de socle pour l’avenir.
A noter la présence d’un français dans les signataires de l’édito !