Le 9 septembre dernier le CNOMK organisait un colloque intitulé « Science & Kinésithérapie ». Notons, entre autre, l’intervention d’ Etienne Klein, physicien, philosophe des sciences, directeur du laboratoire des recherches sur les sciences de la matière, apportant un éclairage très intéressant sur l’épistémologie en kinésithérapie .
Il redéfinit les enjeux d’une démarcation entre kinésithérapie et pseudo kinésithérapie tout en exposant les difficultés potentielles.
Son exposé montre bien le paradoxe humain « nous prétendons aimer la vérité, mais en réalité nous avons tendance à déclarer vraie les idées que nous aimons ».
A de nombreuses reprises, il illustre le critère de réfutabilité de Karl Popper, et revient également sur la fréquente confusion entre corrélation et causalité.
Il redéfinit les enjeux d’une démarcation entre kinésithérapie et pseudo kinésithérapie tout en exposant les difficultés potentielles.
Son exposé montre bien le paradoxe humain « nous prétendons aimer la vérité, mais en réalité nous avons tendance à déclarer vraie les idées que nous aimons ».
A de nombreuses reprises, il illustre le critère de réfutabilité de Karl Popper, et revient également sur la fréquente confusion entre corrélation et causalité.
Dans la même lignée, son intervention à l’école Centrale sur la philosophie des sciences est passionnante…